L’automne et l'hiver sont souvent synonymes de rhumes, de grippes et d'autres maladies. Nous passons jusqu'à 90% de notre temps à l'intérieur qui peut facilement être contaminé. Lorsque nous toussons et éternuons, nous sécrétons en effet de petites gouttes qui peuvent se propager sur plusieurs mètres et rester longtemps en suspension dans l'air. Une fois les gouttelettes tombées sur les surfaces, les virus et les bactéries peuvent survivre pendant plusieurs jours selon l'environnement et les conditions. Il est donc important de tousser et d'éternuer dans son coude, et de garder les mains propres pour éviter la propagation de maladies respiratoires graves.
Les effets néfastes de la "pollution de l'air" sont maintenant connus. De nombreux éléments confirment les risques sanitaires liés à la pollution de l'air. Dans une étude publiée par l'Alliance européenne pour la santé publique (European Public Health Alliance, EPHA) sur le virus du SRAS en 2003, les chercheurs ont établi un lien entre la mauvaise qualité de l'air et le nombre élevé de personnes infectées, ce lien est aujourd’hui établi pour le coronavirus (COVID-19). Selon l'EPHA, les patients atteints de la COVID-19 dans les villes polluées ont 84 % plus de risques de mourir de l'infection que les patients des villes modérément polluées.
"La qualité de l'air intérieur dans les bureaux et autres lieux de travail est importante non seulement pour le confort des travailleurs, mais aussi pour leur santé. La mauvaise qualité de l'air intérieur (QAI) est associée à des symptômes tels que maux de tête, fatigue, difficultés de concentration et irritation des yeux, du nez, de la gorge et des poumons. En outre, certaines maladies spécifiques sont corrélés à des polluants atmosphériques ou à des environnements intérieurs spécifiques, comme l'asthme et les milieux intérieurs humides. De plus, certaines expositions, comme l'amiante et le radon, ne provoquent pas de symptômes immédiats mais peuvent conduire au cancer après de nombreuses années" – United States Department of Labor (Occupational Safety and Health Administration)
La quantité et la nature des polluants que nous émettons ont changé avec le temps, mais nous émettons surtout des quantités plus grandes de petites particules dans l'air, appelées particules PM1. Les particules PM1 sont de très petites tailles, d’au maximum 1 micromètre c'est-à-dire moins d'un millième de millimètre. Grâce aux progrès de la technologie de filtration de l'air, il est possible de filtrer ces particules PM1 nocives, mais cela implique de nouveaux défis. Par exemple, le filtre à air le plus couramment installé, de classe ePM1 60% (F7), élimine environ 60% de ces particules, les 40 % restant passe et pénètre dans les salles via la ventilation. Il est difficile pour les barrières naturelles du corps humain de filtrer ces particules résiduelles, elles pénètrent donc plus facilement dans notre système respiratoire et sanguin.
Il peut être difficile d’agir sur l’air extérieur, mais employeurs et propriétaires de locaux ont tous deux la responsabilité d'améliorer la qualité de l'air intérieur et de contribuer ainsi à des conditions de travail plus saines.
Nous passons jusqu'à 90 % de notre temps à l'intérieur, ce qui fait de l'air propre l'une des priorités sur notre lieu de travail. Il n'y a pas que l'air extérieur qui affecte l'environnement intérieur. Nous l'influençons nous-mêmes fortement en utilisant des produits chimiques, des produits de nettoyage, des bougies, avec la fréquence de nettoyage, mais aussi avec des objets comme les plantes et les textiles qui ont un impact sur la qualité de l'air. Les gouttelettes sécrétées lorsque nous éternuons et que nous toussons ne sont pas traités par les filtres de la ventilation. Pour éviter la propagation de bactéries et de virus dans l’espace intérieur, Camfil recommande d'installer des purificateurs d'air.
Les purificateurs d'air sont disponibles dans toutes les configurations possibles et adaptés à différents environnements. Le purificateur d'air de la gamme City de Camfil filtre 99,995 % de l'air tout en réduisant les coûts de nettoyage. Les virus piégés par le filtre se collent au support et finissent par devenir inactifs (se dessèchent et meurent). Le purificateur d'air mobile City M est équipé de filtres à particules et de filtres moléculaires pour améliorer sensiblement la QAI. Il est généralement installé dans des pièces d'une superficie maximale de 75 m2 afin d'offrir un environnement intérieur plus sain en éliminant la poussière, les contaminants et les particules nocives. Le City M est adapté aux grands magasins, aux bureaux, aux écoles, aux hôpitaux et aux maisons.
Exemples de différents environnements et classes de filtres ici (lien vers le pdf complet avec le tableau)
De plus, pour améliorer l'air qui vient de l'extérieur et entre par le système de ventilation, il est important d’étudier quels filtres sont installés. Augmenter la classe de filtration du filtre en entrée d’air du système CVC aura un énorme impact sur la qualité de l’air qui sera distribué dans la pièce.De nombreux facteurs affectent l'environnement intérieur, par exemple le type de filtres installés dans le système de ventilation, si nous utilisons des purificateurs d'air, et la façon dont l'humidité est contrôlée. Le moyen le plus simple et le plus rapide d'améliorer la qualité de l'air (QAI) est d'installer des purificateurs ou des épurateurs d'air haute efficacité. Il existe également des outils pour mesurer la qualité de l'air afin de s'assurer que vous disposez d'un bon environnement intérieur - mesurer, c'est savoir.
Camfil travaille activement à la réalisation des objectifs de développement durable de l'ONU, à savoir la bonne santé et le bien-être, ainsi qu’avec des villes et des communautés durables. L'analyse de la qualité de l'air sur votre lieu de travail peut faire une grande différence pour la santé des employés et augmenter leur productivité. Pour en savoir plus sur notre engagement dans le développement durable, cliquez ici.
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Le purificateur d'air mobile City M est équipé de filtres particulaires et de filtres moléculaires pour améliorer sensiblement la QAI. Il est généralement installé dans des pièces d'une superficie maximale de 75 m2 afin d'offrir un environnement intérieur plus sain en éliminant la poussière, les contaminants et les particules nocives. Le City M est adapté aux grands magasins, aux bureaux, aux écoles, aux hôpitaux et aux maisons.